Un tableau de Van Gogh est déniché dans une cave. Deux gravures de Picasso surgissent d’un cartable oublié. Un poème du XVIIIe siècle signé de l’Empereur de Chine dormait dans un tiroir. Un lot de vieilles photos s’est vendu un million d’euros…
Les vingt-cinq histoires racontées dans ce livre sont toutes vraies ! Les propriétaires de ces objets, du jour au lendemain, ont trouvé fortune.
Vite ! Fouillez vos placards ! Montez au grenier ! Il y a peut-être chez vous un trésor ignoré. La France en regorge.
Dans un quatre mains joyeux et enlevé, Laurence Mouillefarine et Philippe Colin-Olivier signent avec Vous êtes riche sans le savoir une suite de récits rocambolesques où l’étonnement le dispute à la découverte et au rêve.
“Un livre plus passionnant qu’un bon polar “. Bruno de Cessole, Valeurs Actuelles.
“Votre livre fait rêver”. Elise Lucet, France 2, JT 13 h, Les Cinq dernières minutes.
“On y croise des propriétaires aussi radins que prodigues, des neveux aussi naïfs que roublards, et des commissaires-priseurs au bord de la crise de nerfs. Cet essai relève dès lors de la comédie de moeurs.” François Dargent, Le Figaro littéraire.
“… vingt-six histoires plus amusantes les unes que les autres “. Céline Lefranc, Connaissance des arts.
” C’est drôle et étonnant, façon polar”. Bernard Babkine, Marie France.
” Vingt-cinq récits qui sont autant de portraits d’objets et d’histoires humaines, sur un ton enlevé et dénué de prétention”. Le Journal des arts.
“Ce livre se lit avec gourmandise et passion, étonnement et ravissement”. Philippe Rouillac, La Nouvelle république.
“Les auteurs du livre donnent l’impression d’être là pour tout voir, tout entendre, cachés dans un coin de la pièce. Histoires de faux vrais et de vrais faux, découvertes de trésors, jeux de pistes à travers le monde (…) se lisent d’un trait comme un roman policier.” Alexandre Crochet, Le Quotidien de l’art.
“Ecrit par une journaliste spécialiste du marché de l’art et un romancier d’esprit, l’humour démasque le rocambolesque”. Martine Duteil, Côté Paris.
“De quoi donner envie d’aller fouiller dans les placards, de la cave au grenier…” Martine Robert, Les Echos.