Dieu qu’il est doux d’être président de la République. On peut tout se permettre. On case ses vieux complices à des postes clés, on s’offre des câlins clandestins avec des stars de cinéma… et on laisse, bien sûr, tomber le caïd de la pègre, un bon copain, qui a donné tant d’argent pour les campagnes électorales. Tout va tellement bien… Jusqu’au jour où un chantage interrompt la petite musique du bonheur. Comment ? On ose accuser le chef de l’Etat d’avoir couvert les combines d’une multinationale de l’agroalimentaire ? L’Elysée s’inquiète. L’Elysée enquête. Il faut bien que le président se résigne à faire assassiner les gêneurs. Deux ou trois. Pas plus !

« Si les Tontons flingueurs étaient encore en pré-production, ce type-là dînerait avec Audiard ». Valérie Lejeune, Le Figaro magazine

« Doué pour la satire, la caricature, la bouffonnerie, le burlesque, les faux sérieux, les traits aigus qui font mal, la cruauté et la férocité, l’auteur réussit un roman policier qui est un tableau de moeurs ». Yves Berger, Nice Matin.

« Un sens de la formule et une ironie particulièrement jubilatoires ». Christian Gonzalez, Madame Figaro.

« Une joyeuse mascarade, racontée avec une désinvolture jubilatoire. L’hôte de l’Elysée en question ne serait pas un honnête homme. Des répliques comme celle-ci : Pour les infos je ne fais confiance qu’à “L’Equipe” et au “Chasseur français” ». Olivier Barrot, Télé 7 jours.