Roland Arezzeau, milliardaire à la fois cynique et généreux, est frappé d’une maladie neurologique. Affaibli, craignant pour sa sécurité, il engage deux gardes du corps singuliers, Costes et Bernstein. L’un, fripouillard mais romantique, l’autre, vantard et séducteur. Une complicité inattendue naît entre le super-riche et les deux super-pauvres. Mais, alors qu’il semble se rétablir, Arezzeau trépasse brusquement. Rumeurs et suspicion envahissent l’atmosphère. A-t-il été assassiné ? et par qui ? Dans l’entourage du défunt, chaque visage porte le masque du suspect. Nos deux compères se lancent dans une enquête doublement inspirée : venger le magnat… et mettre la main sur le magot. L’auteur Philippe Colin-Olivier a publié une douzaine de romans. Récemment, « Le Bal des débutants » et « Qui a tué le maire de Paris ? » En duo avec la journaliste Laurence Mouillefarine, il a signé aussi ”Vous êtes riche sans le savoir.” Il a également été scénariste pour la télévision. Selon les critiques, il se singularise par un sens aigu du burlesque, des dialogues drôles et satiriques. À retrouver dans ce thriller joyeusement immoral.
Il faut toujours glisser un polar humoristique dans la hotte. Celui-ci est particulièrement réussi, nous permettant de sourire tout du long et d’avoir quelques éclats de rire.
https://blacknovel1.wordpress.com/2023/12/17/les-cadavres-nont-pas-toujours-bonne-mine-de-philippe-colin-olivier/
“Bien entendu, ce livre est immoral, et c’est ça que le lecteur aime.
Outre l’intrigue, les mouvements, les tableaux et les dialogues épicés, dont on appréciera l’écriture, la construction, la justesse, sont choisis.
Le bon mot, au bon moment. C’est de la littérature.”
La Lettre du Crocodile
Truculent ! Plein de fausses pistes, on se laisse complètement balader.
Christophe Medici, Dynamic radio.
Voici un roman policier qui n’est pas s’en faire penser, par son style, sa gouaille et même son immoralité totale à l’oeuvre du regretté Frédéric Dard, aussi bien aux San-Antonio qu’à tous ses autres romans policiers, voire même à son théâtre.
Immoral, oui ! Mais très drôle avec un sens de la formule (…) : « Souverainiste, il pensait que la mort n’avait rien à faire en France, elle devrait être reconduite aux frontières » ou encore : « Costes se régala d’une soupe de sardines, recette recommandée pour les douleurs menstruelles. L’avenir de l’homme étant la transsexualité, à tout hasard il en souffrait ». Et c’est comme cela durant tout ce roman.
Emile Cougut, Wukali.com
Une narration qui déjoue toutes les attentes. Nuit blanche garantie avec ce roman noir.
Michel Erman, Service littéraire
“Joyeusement immoral…”
Laurent Greusard, K-Libre